Tous nos vœux pour la nouvelle année !!
2015 est déjà là et malgré un dur retour
dans le monde réel, le temps est vite passé...
Nous sommes donc planqués chez Nadine qui
nous accueille chez elle depuis maintenant 3 mois. C'est le délai que nous nous
étions donné pour retrouver un chez nous... SAUF QUE !!
Une fois réinscrite sur la liste de
"Paul" - comme j'aime l'appeler -, pendant que mon chéri profitait de
son dernier mois de congé sabbatique, j'ai désespérément tenté de retrouver un
emploi.
Mais il y a eu la journée fatale du 12
novembre... mon père, ma mère et moi avons emmené mon neveu Timéo à
Hopypark... une salle de jeux pour les enfants... où tout est sécurisé par des
filets ou des tapis... Eh bien, la Tatie fraîchement débarquée d'un
périple à l'étranger a trouvé le moyen de s'y casser un pied !! Après 7h
aux urgences dont 3 à attendre le compte-rendu du radiologue, je suis ressortie
avec un joli plâtre !!
3 semaines, c'est chiant mais c'est vite passé, n'est-ce pas ? Retour
aux urgences le 2 décembre, pour enlever le plâtre. Allez savoir pourquoi il
faut aller au service saturé des urgences pour ce qui n'en est pas une, je me
pose toujours la question...
Le pied enfin libre, on m'envoie faire une radio de contrôle qui
me vaudra un nouveau plâtre tout beau tout neuf... Et oui, ils avaient juste
pas pris en compte que le ligament était touché aussi. On m'a donc annoncé que
je n'étais qu'à la moitié de ma convalescence.
Et bim !! Je rempile donc pour 3 nouvelles semaines, bien dégoûtée
à l'idée de dépendre à nouveau de tout le monde et surtout de me faire piquer à
nouveau chaque jour dans le bidon !!Après un rendez-vous chez un orthopédiste
le 18 décembre, j'apprends que je passerai les fêtes dans le plâtre, et que ce
n'est que le 6 janvier que mon pied serait enfin libéré.En parallèle, le 12
novembre également, Yo a repris le boulot et, je le cite, "à peine un pied
dans le local et c'était comme si on n'était jamais parti..."
Puis ça a été un rude mois d'attente pour
lui aussi parce que son employeur était en redressement judiciaire, et la
décision concernant le repreneur a pas mal tardé à venir. Un projet de
plan social a été évoqué et Yo a donc sauté sur l'occasion pour se porter
volontaire en cas de licenciement économique... Mais l'espoir de passer à autre
chose s'est envolé quand le repreneur a annoncé qu'il gardait tout le personnel
à quelques exceptions près.